Dans sa première interview depuis sa signature à Arsenal, Viktor Gyökeres a expliqué ne pas avoir hésité une seconde entre les Gunners et les autres clubs intéressés comme Manchester United, la Juventus.
Viktor Gyökeres (27 ans) est un homme soulagé depuis samedi et l’officialisation de sa signature à Arsenal. Après de longues semaines de négociations avec le Sporting Portugal, le début d’un bras de fer et une lourde amende, l’attaquant a finalement obtenu ce qu’il voulait en rejoignant le club londonien. Dans sa première interview depuis son arrivée, à WTV, l’international suédois (26 sélections, 15 buts) explique ne pas avoir pris en considération les intérêts d’autres clubs comme Manchester United ou la Juventus.
“Il y avait de très bonnes options”
“Il y avait des clubs en Angleterre et en Italie, mais aussi au Moyen-Orient”, a-t-il confirmé. “Il y avait des options, de très bonnes options… Bien sûr, il faut réfléchir à ce qui se présente. Il faut prendre une décision, mais dès la première seconde, j’ai senti qu’Arsenal était ce que je voulais. Ce n’était pas une décision difficile.” “Je n’ai pas eu l’impression que le choix était difficile pour moi cette fois”, a-t-il ajouté.
L’ancien joueur de Swansea et Brighton a davantage peiné à composer avec le flot de critiques reçues pour avoir forcé son départ du Sporting. “J’ai connu des hauts et des bas, mais surtout, le mois dernier a été assez difficile”, explique-t-il. “On a beaucoup parlé de ce qui s’est passé – ou pas – sur les réseaux sociaux, mais les gens ne savent pas vraiment ce qui s’est passé. C’était difficile, mais je sais aussi que cela m’a rendu plus fort.”
Relancé sur les responsables de cette situation tendue entre son ancien club et ses agents, le joueur ne prend pas vraiment partie même s’il en veut un peu à ses anciens dirigeants portugais. “Cela dépend de la façon dont on voit les choses”, conclut Gyökeres. “En tant que footballeur, je veux toujours être au sommet. Et je me sentais prêt à franchir une nouvelle étape. Et plusieurs personnes au Sporting le savaient aussi.”