DIRECT. Équipe de France: les finalistes de la Ligue des champions sont arrivés à Clairefontaine

Didier Deschamps a eu un message de félicitations pour les cinq vainqueurs de la compétition avant de passer à table lundi soir, tout en ayant aussi un petit mot pour Thuram et Pavard, malheureux avec l’Inter. Avant de rappeler l’importance du rendez-vous à venir contre l’Espagne.

VJ

Les champions d’Europe du Paris Saint-Germain Ousmane Dembélé, Désiré Doué, Bradley Barcola, Lucas Hernandez et Warren-Zaïre Emery et leurs adversaires de l’Inter Milan battus en finale (5-0), Benjamin Pavard et Marcus Thuram, sont tous arrivés à Clairefontaine avant 19h30.

Ils seront présents pour l’entraînement à huis clos de mardi, a précisé le sélectionneur Didier Deschamps.

Ousmane Dembélé vient d’arriver à Clairefontaine. Les cinq autres finalistes sont attendus dans les prochaines minutes.

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Les deux joueurs du Real Madrid ont bien participé à la séance de fin de journée. Devant notamment quelques supporters du PSG qui ont scandé des “Cherki à Paris”.

“On est des compétitieurs. C’est un trophée à avoir, on sait que ça passe par l’Espagne. On est tous galavanisés, on bosse bien. On va arriver frais pour tenter de gagner ce match.”

“Rayan, j’ai pu le cotôyer en Espoirs. C’est un bon gars, simple, lui-même. Toujours prêt à faire rire les autres. Comme sur le terrain, il a la même folie en dehors.”

“Les Parisiens inspirent. L’Inter, c’est une meilleure défense. En Italie, c’est compliqué de mettre un but à l’Inter. Je pense que beaucoup d’équipes vont s’inspirer du PSG.”

“Il y a deux très grands Français qui peuvent l’avoir aujourd’hui, un qui joue au Real, l’autre PSG, je voterai pour les deux.”

Lamine “C’est un très bon joueur. Il est très jeune, il fait de très bonnes choses, en Champions League ou en sélection. Mais pour le Ballon d’or, je suis Français, donc je milite pour mes coéquipiers.”

Manu Koné sur la finale de Ligue des champions de Désiré Doué avec le PSG face à l’Inter: “Ce qu’il a fait à 20 ans, bon anniversaire en avance (sourire), c’est impressionnant. Mais on n’est pas choqués, c’est Désiré.”

“Le bilan est mitigé, collectivement on revient de loin. On a eu trois coachs. Je venais d’arriver, donc il a fallu se faire une place avec une forte concurrence. On a aussi la chance d’avoir Claudio Ranieri. On a tout donné, on est très fiers et on attend la saison prochaine.”

“On ne se dit pas que c’est une revanche, mais on veut gagner. On est confiants et sereins.”

“Nos coéquipiers ont été très bons. Le pressing du PSG m’a choqué. L’Inter est une très bonne équipe, les avoir contré comme ça, c’est choquant. L’Inter, ce n’est pas rien. C’est compliqué de leur mettre 5-0. Les Parisiens ont un grand avenir.”

“Je suis assez nouveau en équipe de France. Il a plusieurs systèmes et je suis à l’aise dans tous les systèmes. Contre la Croatie, on était galvanisés, on voulait vraiment tous gagner.”

“J’ai confiance en moi. Le coach, le staff et mes partenaires m’ont beaucoup aidé. Ils m’ont mis à l’aise. Le coach me demande de rester moi-même. Ça m’a souri, j’en suis très content.”

“Je suis né à Colombes, en région parisienne. On a vu la finale à Clairefontaine. En tant que Parisien, on est très contents. J’espère qu’ils gagneront encore des trophées.”

Manu Koné “J’ai eu ma première sélection en septembre. J’y suis encore jusqu’à présent. J’essaie de donner le meilleur en restant moi-même. On a une bonne équipe et j’espère qu’on ira loin ensemble.”

Rayan Cherki sur sa relation avec Thierry Henry, sélectionneur de l’équipe de France olympique l’été dernier à Paris: “On a vécu quelque chose de magnifique aux JO. Il m’a apporté beaucoup de choses, sur et hors du terrain. Il a souvent été dur et critique avec moi, c’est comme ça quand on aime quelqu’un. Je lui en suis reconnaissant.”

“J’avais un plan, que j’ai suivi à la lettre. Me préparer à toute éventualité, être prêt. C’est bien d’être appelé en A mais l’important maintenant c’est de rester.”

“Le joueur auquel j’aimerais ressembler en équipe de France, c’est Zidane. C’est sa route que j’aimerais emprunter.”

“Il est extrêmement fort. Il a encore une marge de progression importante. On ne peut qu’applaudir quand on voit sa finale. Il le mérite. Je lui souhaiter des centaines d’autres matchs comme ça.”

“Je l’ai appris sur le téléphone parce que j’étais sur un tournage. J’ai appelé mes parents en premier lieu, ça m’a fait plaisir de voir qu’ils étaient heureux pour moi.”

“Il est extrêmement fort, il sait tout faire, il est bon. Il faudra s’en méfier, mais ce n’est pas une priorité je pense. On va se concentrer sur nous.”

“Ils ont été impressionnants du début à la fin. L’Inter n’a pas vu le jour. Quand le PSG est dans un jour comme ça, ils sont bons dans tous les aspects.”

“La saison n’est pas finie. Les deux meilleurs joueurs du monde son français, c’est compliqué de les départager. Moi, je suis là pour les servir et les mettre dans les meilleures dispositions sur le terrain.”

“Je ne pense pas en avoir souffert. C’est juste frustrant qu’on invente des choses sur moi. Mais ça ne m’a gêné. J’étais impatient que vous vous rendiez compte que vous vous êtes trompés.”

“Toutes les pistes sont crédibles. Mais là, il y a deux matchs importants avec l’équipe de France. Quand il faudra se poser la question, je me la poserai. Ça ne pollue pas mon début de stage. Je ne regarde pas ce qui se passe ailleurs.”

“J’ai eu la chance de discuter avec le coach sur le positionnement. On est conscients que je peux joueur à tous les postes de l’attaque. Il sait que ma position préférée, c’est n°10.”

“J’ai fait une bonne saison. Je peux faire encore mieux, dans tous les aspects de mon jeu. J’y travaille tous les jours.”

“L’Espagne a un très bel effectif, mais nous aussi, à tous les postes. Ce sera un match compliqué. Si j’ai la chance d’être sur le terrain, ce sera pour essayer de tout donner et de débloquer la situation.

“C’est un chemin long pour arriver ici. On est patients, on travaille. Je suis très heureux d’être au château, avec les A. J’en profite au maximum.”

Rayan Cherki sur le sacre du PSG en Ligue des champions: “On a regardé le match tous ensemble, match magnifique. On était très heureux pour nos partenaires, ils le méritent amplement. Ils ont fait une superbe Ligue des champions.”

L’équipe de France reprend ses droits ce lundi avant la demi-finale de Ligue des nations jeudi (20h45) face à l’Espagne. Rayan Cherki et Manu Koné vont se présenter face à la presse ce lundi.

Merci à tous de l’avoir suivie.

“Je ne peux pas parler au nom de tout le monde parce que je ne leur ai pas posé la question. Moi, au niveau personnel en Ligue des champions, j’ai toujours eu l’envie qu’ils passent. Supporter est un grand mot. Je n’ai pas été contre eux et je ne le serai pas ce soir. Je ne vais pas souhaiter que l’Inter gagne quand même.”

“Je vais faire ce que je sais faire. Si le sélectionneur fait appel à moi, je serai prêt à répondre présent.”

“On a eu droit à une bonne éducation de la part de nos parents, des valeurs dans le travail, l’humilité. Ils nous ont mis ça en tête très jeune, avec le côté scolaire qui va avec. Je suis fier de tous mes frères, on se suit au quotidien, juste pour le plaisir.”

“Un favori, c’est compliqué parce qu’il y a encore des échéances. Mais il y a des candidats en équipe de France, que ce soit Mbappé, Dembélé. Ils ont une forte concurrence. Par le passé, je me suis pas mal trompé sur le Ballon d’or, donc je préfère ne pas le dire sinon il ne va pas l’avoir.”

“Peut-être qu’il n’y en aura pas (rires). J’hésite entre deux musiques, je vais décider dans les prochains jours.”

“C’est la normalité mais ça se passe bien. Ca laisse la possibilité de parler avec plus de monde.”

“Les deux grands frères (Aldo et Gédéon) ont opté pour le Congo. Ca reste un choix personnel. On a toujours eu des conseils, mais les choix de clubs et de carrière, ça reste personnel. Je suis très heureux de représenter l’équipe de France.”

“J’ai eu pas mal de chance d’affronter l’Inter. C’est une équipe très forte, avec de grosses qualités. C’est une équipe réglée. Ce sera un bon match à voir, avec deux oppositions de styles. On ne peut pas sous-estimer une équipe qui arrive en finale de C1. Ce serait une grosse erreur. Mon pronostic ? Le PSG va l’emporter après prolongations.”

“Ca aide tout joueur. Ils ont une vision différente du foot, tu es jugé sur le placement, des couvertures. Ca t’aide à avoir cette idée pointilleuse. Mon avenir ? Je suis pleinement avec la sélection.”

“Dès que je suis sur le terrain ! Ca dépend dans l’équipe que j’évolue. Peu importe le poste, on essaie d’être le meilleur et aider l’équipe. Mon but est d’être le plus complet possible aux différents postes de la défense.”

“J’étais aux vestiaires et c’est Randal qui me l’apprend. J’ étais dans les douches ! Randal vient me voir et il me dit ‘tu es pris’. Il me montre la liste et je commence à réaliser. On est tous contents aux vestiaires. C’était un bon moment de partage. Cette saison et les précédentes, il y a eu des gros matchs en championnat et en C1 où je réalisais de bonnes performances qui ont dû compter.”

“La diffusion de la Serie A est plus votre souci que le mien (rires). Dans la vie tout arrive au moment où il faut. Les Italiens ont eu plus de possibilité de m voir grandir et réussir de belles choses. J’ai à coeur de montrer ce dont je suis capable.”

“Les premières sensations sont positives. J’ai ressenti beaucoup de fierté et de joie que j’ai pu partager avec ma famille et mes amis.”

“Il y a beaucoup de qualités chez l’Espagne. Elle a deux joueurs sur les côtés dangereux. Lamine est un joueur exceptionnel pour son âge. Comment le contenir ? Essayer de défendre en bloc, être proche de lui et lui laisser le moins d’espaces possibles, être capable de faire mal quand on a le ballon. Avec la qualité offensive, on aura forcément des moments dans le match où on pourra leur faire mal.”

“Sur les cadences infernales, c’est nous ajouter une compétition, donc des matchs. C’est jamias simple à gérer. On joue une nouvelle compétition, vue dans le monde entier, avec des équipes et des joueurs exceptionnels. On ne retrouve à jouer quelque chose de nouveau sur un continent que va accueillir la Coupe du monde l’année prochaine. Il y a beaucoup d’excitation parce que c’est un objectif à court terme pour un club. En un mois on peut gagner un trophée. Nous, on n’a pas eu l’opportunité d’en gagner cette saison donc c’est un objectif très élevé.”

“On en a parlé. C’est particulier pour moi car je connais pas mal de joueurs dans l’équipe d’en face. Avec Robin, on s’entend bien. On a cette rivalité du moment qui sera sympa à vivre. Il y a beaucoup d’excitation.”

“A Tottenham, je trouve avoir fait une bonne saison. Aston Villa, c’était compliqué parce que j’ai moins joué. Mon futur, je ne sais pas. Il me reste deux ans au Barça, dont j’appartiens au Barça en 2025-2026.”

Lenglet: “C’est difficile de valoriser le niveau d’un match international ou de LDC. C’est du haut niveau pour les deux. Tu as moins de travail en sélection parce que tu as moins de temps. Le niveau est le summum de ce qu’il se fait en club et en sélection.”

“Je n’ai pas de favori, mais je pense qu’on va la regarder ensemble. C’est un match important. On rêve tous d’être sur le terrain pour ce match. On a des potes qui seront des deux côtés. On a hâte de les voir jouer.”

“Je n’ai jamais connu ça, en général on est plus nombreux. C’est une bonne ambiance. On attend les joueurs qui jouent en finale de Ligue des champions ce soir. L’ambiance est bonne, ça n’a pas changé.”

Sur son retour: “Je suis heureux d’être de retour en Bleu. Content d’être là. J’ai eu un moment où je me disais que le train était passé, qu’il y avait une nouvelle génération parce que les joueurs en place performent depuis pas mal de temps. J’ai pensé un temps que c’était terminé mais je n’ai jamais lâché. Avec la bonne saison, ça m’a permis de raccrocher le wagon.”

C’est à 16h15 qu’aura lieu la conférence de presse du jour côté équipe de France. Deux joueurs sont attendus face aux médias: Clément Lenglet, pour son retour chez les Bleus, et Pierre Kalulu, pour sa grande première en équipe de France.

Au programme des Bleus, une petite sortie vélo à 17h30. “Une reprise en douceur”, dixit Deschamps. Avant “une journée double” samedi. A noter que les Bleus auront “une opposition mixte avec les Espoirs” dimanche.

“C’est quoi la créativité ? Faire de bonnes passes vers l’avant ? On a des joueurs comme Olise, Désiré Doué, Rayan… leurs positions peuvent être différentes, ils ont la capacité à pouvoir éliminer, dribbler. Ca ne se fait pas en un claquement de doigts. Avant la Croatie, Olise a eu des passages qui n’ont pas été très performants. Ca demande de la confiance, de la répétition. Ca ne se fait pas comme ça. Grizou a éclairé notre jeu, mais au début ce n’était pas ce qu’il a fait sur les 5 dernières années. Ce n’est pas en mettant 5 offensifs que vous allez mettre plus de buts. Il y a toujours eu de la créativité, il peut y en avoir plus ou moins, tout dépend du rapport de force. C’est un juste équilibre. Il est fragile.”

“Il a changé au moins 3 fois de position. Il a été faux pied axe droit, puis il a joué plus haut à gauche, et a fini en position axiale en pointe haute du milieu. Mis à part au tout début, sa position a été plus offensive. Il a pu ponctuellement le faire avec nous, ça remonte un peu. Il a cette polyvalence. Sa position en club est plus haute depuis janvier. Dans ce registre, j’ai aussi d’autres joueurs qui sont performants (sourire). Il sait faire beaucoup de choses.”

“Beaucoup de respect pour lui, ce qu’il fait. Bravo à lui d’avoir été au bout de ses idées. Je ne peux pas me comparer, ce n’est pas vraiment le même métier. Quand vous avez l’opportunité de gagner un grand titre, vous pouvez y arriver de différentes façons, le tout c’est d’y arriver en tirant le maximum de vos joueurs. La seule différence, c’est que lui a du temps avec ses joueurs (sourire). Il a connu le rôle de sélectionneur, il y a peu de séances, on n’a pas toujours les mêmes joueurs disponibles. C’est sa réussite, même si elle passe aussi par les joueurs. Le foot est magnifique quand vous gagnez. (…) C’est tout un club au PSG qui est impliqué. Avec Luis Campos, Nasser…”

“Ce n’est pas une demi-finale d’Euro cette fois… Le profil en face reste plus ou moins le même, avec la capacité de cette équipe à avoir une très bonne maîtrise. C’est sans doute la meilleure équipe européenne voire mondiale. C’est une nouvelle confrontation. Je ne sais pas si le rapport de force sera le même mais je sais à quoi m’attendre. J’ai vu beaucoup de leurs matchs. Le style de l’équipe reste assez fixe. Nous ça a évolué. Des joueurs ont arrêté, mon équipe est plus jeune, mais on va tout faire pour atteindre la grande finale, en sachant qu’en face il y a beaucoup de qualité.”

“Je ne suis pas surpris. Il avait la capacité de le faire. La grande différence c’est l’efficacité en termes de passes décisives et de buts marqués. Il est extrêmement efficace.”

“Il n’était pas là depuis l’Euro 2021. Clément a eu des pépins physiques, il a souvent bougé de club, son début de saison a été compliqué. Il a retrouvé un très, très bon niveau. Il a souvent été prêté. Ce n’est pas parce qu’un joueur ne vient pas pendant un moment qu’on le perd de vue. Je peux avoir des échanges avec les joueurs. Ce sont des compétiteurs, ils savent qu’ils doivent faire tout ce qu’il faut pour revenir. C’est le haut niveau.”

“Vous le voyez un peu plus. Il était déjà très performant avant. Il est régulier depuis plusieurs saisons. On le voit plus en Ligue 1. Il est comme il est, avec son niveau d’international en puissance.”

“On a vu que ça peut se jouer sur peu de choses. Pour gagner une finale il faut tout bien faire. Avec ou sans ballon. Avec des systèmes différents qui conviennent aux deux équipes. Ces deux équipes ont des animations différentes.”

“Est-ce que je souhaite une victoire du PSG ? On me repose cette question ! Heureusement. Ma fonction veut ça. Il y a un club français. Vous connaissez mon passé, mais évidemment que je souhaite que le PSG puisse gagner cette finale. En tant que représentant du foot français, ce serait une très bonne chose.”

“Comment gérer le retour des joueurs concernés par la finale ? Pas de règle. Evidemment, c’est plus positif de gagner, mais il faut se remettre après. J’ai vécu les deux en club, la défaite et la victoire. Il faut être capable de basculer. Il n’y aura pas beaucoup de temps après la finale avant le match de jeudi. On a déjà des absents en défense : Jules, Upa et William. On n’est pas à l’abri. Certains auront le sourire, d’autres un peu moins. Je leur laisse deux jours après la finale, il faudra ensuite switcher.”

“C’est sa première ici, toujours un moment important, comme pour Kalulu. Il faut être le plus naturel possible, comme ils le sont en club. Il y a des échanges évidemment. Il faut rester soi-même.”

“Je n’ai pas de message à envoyer aux joueurs concernés. Rien de prévu en particulier. Si les joueurs veulent la regarder, ils la regarderont. Pas d’obligation.”

“Tout se joue sur un match. Même si ça se joue sur le terrain, la partie la plus difficile, c’est le côté émotionnel. Il y a un contexte qui déclenche ce côté émotionnel. Cette gestion est difficile.”

“Les clubs sont dans leur loi, les joueurs voulaient venir aujourd’hui, le Real est leur employeur. Le règlement est comme ça. Ce n’est pas être résigné, la fenêtre est comme ça, je ne vais pas mettre les joueurs en difficulté. Kylian voulait arriver avec l’ensemble du groupe, Aurélien aussi. C’est comme ça…”

“Quand vous êtes en club, la LDC représente le trophée le plus important. On a tous l’objectif de la gagner, c’est la plus belle des compétitions européennes. Ca marque, c’est un rendez-vous annuel, le plus important.”

Première question sur la préparation particulière de ce Final Four : “Ça ne date pas d’aujourd’hui. Les années impaires ont toujours été compliquées. Des joueurs sont concernés par les finales de Coupes d’Europe. Les dates Fifa font foi. On a fait en sorte d’anticiper un peu. On a 15 joueurs. Malo Gusto arrivera samedi. C’est mieux d’avoir des joueurs concernés par la finale de la C1, ils sont 7. J’ai déjà connu ça. C’est de plus en plus réduit. Les clubs décident, d’où le maitre-mot : s’adapter. Il y aura peu de temps. Mais bon… en termes de prépa, on ne peut pas parler de véritable prépa. C’est aussi valable pour notre adversaire.”

Cherki, Kolo Muani, Guendouzi, Rabiot… les joueurs arrivent peu à peu à Clairefontaine. Mais ils ne seront que 15 ce vendredi pour le début du rassemblement.

KM

Il bénéficie d’un jour de repos supplémentaire après avoir remporté la finale de Conference League avec Chelsea mercredi soir.

FH

L’équipe de France affrontera l’Espagne, jeudi 5 juin (21h), à Stuttgart lors des demi-finales. L’issue de la rencontre déterminera le match que les Tricolores disputeront le dimanche 8 juin. Ce sera soit la finale (21h), à Munich, ou le match pour la troisième place (15h), à Stuttgart, contre l’Allemagne ou le Portugal, adversaires dans l’autre demi-finale.

Dans une vidéo diffusée par l’OL, Rayan Cherki réagit ce à sa première convocation en équipe de France A, pour le Final Four de Ligue des nations. L’attaquant lyonnais ne cache pas son sourire en entendant Didier Deschamps prononcer son nom.

>> Le sourire de Cherki en apprenant sa première convocation

Alors que l’équipe de France se rassemble à partir de ce vendredi midi à Clairefontaine afin de préparer le Final Four de Ligue des nations, le Real Madrid bloque pour l’instant Kylian Mbappé et Aurélien Tchouaméni. Randal Kolo Muani et Pierre Kalulu (Juventus) ainsi que Malo Gusto (Chelsea) arriveront de leur côté en même temps que les autres.

>> Pas de Mbappé ni de Tchouaméni vendredi au rassemblement des Bleus ?

En vue de sa demi-finale de Ligue des nations face à l’Espagne, le 5 juin à Stuttgart, l’équipe de France débute ce vendredi son rassemblement en comité réduit, à Clairefontaine. Suivez toutes les infos dans ce live et la conférence de presse de Didier Deschamps à partir de 14h15.