Coupe du monde des clubs: l'Inter Milan accrochée par Sergio Ramos et Monterrey

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Pour son premier match depuis sa claque en finale de la Ligue des champions, l’Inter Milan a concédé le nul contre Monterrey (1-1) de Sergio Ramos, buteur sur corner, mardi lors de la Coupe du monde des clubs.


Encore groggys. Un peu moins de trois semaines après la déroute en finale de la Ligue des champions contre le PSG (5-0), les joueurs de l’Inter Milan ont concédé le match nul contre le club mexicain de Monterrey (1-1) mardi au Rose Bowl de Los Angeles, au Mondial des clubs. Pour ce match animé, le stade était à moitié rempli (environ 40.000 personnes), loin des 80.000 spectateurs de PSG-Atlético Madrid de dimanche. L’Inter Milan souhaitait tourner la page de l’humiliante défaite en finale de Ligue des champions contre le Paris SG, avec un nouvel entraîneur, l’ancien joueur maison Cristian Chivu.

Immortel Sergio Ramos

Mais pour l’Inter, impérial lors de sa campagne européenne avant sa chute spectaculaire du 31 mai, la rencontre a été loin d’être simple, signe que le traumatisme est toujours vivace. Les absences sur blessure de Hakan Calhanoglu et Denzel Dumfries n’ont pas aidé. Le Français Marcus Thuram, lui, n’est entré qu’en deuxième période. Ainsi les Nerazzurri ont encaissé le premier but par Sergio Ramos, qui, à 39 ans, possède toujours un timing aérien exceptionnel. L’Espagnol s’est démarqué de Franscesco Acerbi sur un corner obtenu avant de placer un coup de tête imparable (25e).

Les Italiens ont alors repris leur domination totale de l’entrejeu en campant dans la moitié de terrain adverse. Après un gros raté de Sebastiano Esposito (28e), l’inévitable Lautaro Martinez – choqué par la défaite face à Paris au point de ne pas avir parlé pendant cinq jours – a remis son équipe à l’endroit. Il a poussé le ballon dans les filets sur un nouveau centre au cordeau de Carlos Augusto, lancé par Kristjan Asllani d’une louche astucieuse, sur un coup franc lointain obtenu par Benjamin Pavard (42e).

Monterrey a bien failli prendre l’avantage, par une frappe subite de Canales aux 35 mètres, qui trouva le poteau de Yann Sommer. Ensuite, l’Inter a été approximatif au moment des dernières passes et des tirs, à l’image des frappes imprécises de Nicolo Barella, Lautaro Martinez et Nicola Zalewski.

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